Maladies - Quid ?
--> Comment faire des vidéos ? 01
Le minimum nécessaire pour un amateur comme moi pour pouvoir réaliser des vidéos à peu près potables.
1) Le son :
Voici un micro autonome qui permet un bonne prise de son. Cette petite bête, de la taille d'un téléphone portable, fonctionne sur piles rechargeables.
Il possède un micro avant de 90° et un micro arrière de 120°. On peut aussi lui adjoindre un 3ième micro externe. Les sons, aux formats WAV ou MP3 sont stockés sur une carde mémoire SD. Il se connecte sur un ordinateur sans installation via une prise USB.
2) L'image
Avant de parler des caméras, il est important d'acheter des pieds tripodes dans un magasin, afin de pouvoir tester la souplesse de manipulation. Certains pieds bon marché donnent des mouvements saccadés et rendent difficile la prise de vue en mouvement (balayage gauche/doite & haut/bas).
Deux caméras (bientot trois) pourquoi ? Simplement pour pouvoir filmer une même scène sous plusieurs angles afin d'avoir un montage plus dynamique. Dans l'absolu, une caméra suffirait.
La caméra est donc un caméscope de type familial, celui que l'on trouve dans tous les magasins et tous les catalogues. Petit, maniable et léger (200gr).
Les points importants pour moi :
- un écran LCD qui pivote dans tout les sens
- un obturateur d'objectif car difficile à nettoyer (surtout dans les coins)
- un stockage sur carte mémoire SD, car il n'y a aucune partie mécanique, ce qui assure une durée de batterie plus importante.
3) Les logiciels
Surement la partie ou il faut le plus s'investir pour apprendre à les exploiter aux maximum.
Attention : les caméras Panasonic sont vendues avec un logiciel de montage (Motion SDStudio) qui reste très basique. Le format vidéo étant du MPEG 2, le vendeur m'a assurer que je pourrais utiliser n'importe quel autre logiciel de montage.
C'EST FAUX : la format est bien en MPEG 2 mais il est protégé par Panasonic.
Impossible donc de lire directement les films avec un autre logiciel, sauf à passer par un convertisseur (ce que je fais).
Tout d'abord, un bon logiciel de montage vidéo. Il faut faire la part des choses entre les possibilités et la convivialité.
- les logiciels d'Adobe sont pour moi de vraies usines à gaz (trop compliqués) et très gourmand en ressources. Ils restent cependant les plus permissifs en matière d'effet spéciaux.
- VidéoMaker, livré avec Windows permet de bien débuter mais on est vite limité.
- finalement, c'est avec Ulead Video Studio que je m'éclate le plus
Bien sûr il faut aussi un logiciel dédié à la gestion du son afin de pouvoir soit le retravailler soit le truquer ou le monter comme bon nous semble.
Un logiciel de conversion vidéo capable de lire tous les formats existant et de les convertir dans n'importe quel autre (WMV, AVI, DIVX, RAM, FLS, MPG...)
Et pour finir, un logiciel de montage et de création de DVD.
Pour les trucages sur écran bleu, j'utilise de simple feuille de papier canson au format A3.
4) La musique
Pour éviter la SACEM, il n'y a que deux alternatives :
5) L'envie et les idées
Surement le point ou la motivation doit être la plus forte. Le montage consiste souvent à voir et revoir des heures de vidéo pour en extraire quelques minutes voire quelques secondes. Ce qui est souvent frustrant.
On est souvent aussi tenté au début de sombrer dans la débauche d'effets spéciaux et de transitions multiples... mais c'est l'image et l'histoire qui font tout.
Mieux vaut une bonne histoire montée simplement qu'un feu d'artifice technologique vide de tout contenu.
6) Le budget
Probablement le point le plus délicat.
Voici le mien :
- Micro : 150€
- Pieds : 80€x2
- Caméras : 280€x2
- Logiciels : 300€
Ce qui nous amène à 1170€
1) Le son :
Voici un micro autonome qui permet un bonne prise de son. Cette petite bête, de la taille d'un téléphone portable, fonctionne sur piles rechargeables.
Il possède un micro avant de 90° et un micro arrière de 120°. On peut aussi lui adjoindre un 3ième micro externe. Les sons, aux formats WAV ou MP3 sont stockés sur une carde mémoire SD. Il se connecte sur un ordinateur sans installation via une prise USB.
2) L'image
Avant de parler des caméras, il est important d'acheter des pieds tripodes dans un magasin, afin de pouvoir tester la souplesse de manipulation. Certains pieds bon marché donnent des mouvements saccadés et rendent difficile la prise de vue en mouvement (balayage gauche/doite & haut/bas).
Deux caméras (bientot trois) pourquoi ? Simplement pour pouvoir filmer une même scène sous plusieurs angles afin d'avoir un montage plus dynamique. Dans l'absolu, une caméra suffirait.
La caméra est donc un caméscope de type familial, celui que l'on trouve dans tous les magasins et tous les catalogues. Petit, maniable et léger (200gr).
Les points importants pour moi :
- un écran LCD qui pivote dans tout les sens
- un obturateur d'objectif car difficile à nettoyer (surtout dans les coins)
- un stockage sur carte mémoire SD, car il n'y a aucune partie mécanique, ce qui assure une durée de batterie plus importante.
3) Les logiciels
Surement la partie ou il faut le plus s'investir pour apprendre à les exploiter aux maximum.
Attention : les caméras Panasonic sont vendues avec un logiciel de montage (Motion SDStudio) qui reste très basique. Le format vidéo étant du MPEG 2, le vendeur m'a assurer que je pourrais utiliser n'importe quel autre logiciel de montage.
C'EST FAUX : la format est bien en MPEG 2 mais il est protégé par Panasonic.
Impossible donc de lire directement les films avec un autre logiciel, sauf à passer par un convertisseur (ce que je fais).
Tout d'abord, un bon logiciel de montage vidéo. Il faut faire la part des choses entre les possibilités et la convivialité.
- les logiciels d'Adobe sont pour moi de vraies usines à gaz (trop compliqués) et très gourmand en ressources. Ils restent cependant les plus permissifs en matière d'effet spéciaux.
- VidéoMaker, livré avec Windows permet de bien débuter mais on est vite limité.
- finalement, c'est avec Ulead Video Studio que je m'éclate le plus
Bien sûr il faut aussi un logiciel dédié à la gestion du son afin de pouvoir soit le retravailler soit le truquer ou le monter comme bon nous semble.
Un logiciel de conversion vidéo capable de lire tous les formats existant et de les convertir dans n'importe quel autre (WMV, AVI, DIVX, RAM, FLS, MPG...)
Et pour finir, un logiciel de montage et de création de DVD.
Pour les trucages sur écran bleu, j'utilise de simple feuille de papier canson au format A3.
4) La musique
Pour éviter la SACEM, il n'y a que deux alternatives :
- - la musique libre de droits, exploitable même pour des produits commerciaux mais limité à de la musique classique ou du vieux jazz. Pour cela, voir le site MusOpen.
- - la musique à droits limités, c'est à dire que vous pouvez l'utiliser si vous citez le nom de l'artiste et ne l'utilisez pas à des fins commerciales. Pour cela, voir le site Jamendo.com. Ils est cependant possible d'acheter les droits commerciaux morceau par morceau pour 2 ou 3€.
5) L'envie et les idées
Surement le point ou la motivation doit être la plus forte. Le montage consiste souvent à voir et revoir des heures de vidéo pour en extraire quelques minutes voire quelques secondes. Ce qui est souvent frustrant.
On est souvent aussi tenté au début de sombrer dans la débauche d'effets spéciaux et de transitions multiples... mais c'est l'image et l'histoire qui font tout.
Mieux vaut une bonne histoire montée simplement qu'un feu d'artifice technologique vide de tout contenu.
6) Le budget
Probablement le point le plus délicat.
Voici le mien :
- Micro : 150€
- Pieds : 80€x2
- Caméras : 280€x2
- Logiciels : 300€
Ce qui nous amène à 1170€
